La neurothérapie vient déprogrammer une charge émotionnelle mal vécue. Nous déprogrammons ainsi ces sentiments négatifs pour éviter de les voir se répéter indéfiniment. Il s’agit en fait de stopper des schémas émotionnels nocifs au bien-être.
Nos cinq sens enregistrent de nombreuses informations. Un traumatisme n’est autre qu’une perception négative enregistrée par ces sens (sauf que l’émotion négative est bloquée). Nous ignorons souvent quel événement traumatique est à l’origine de nos maux. De ce traumatisme découlent des manifestations physiques et/ou psychologiques. Sachez qu’un événement perçu comme traumatisant pour une personne peut être vécu comme sans effet pour une autre. Les traumatismes sont subjectifs.
Si vous avez à gérer des émotions négatives, la neurothérapie vous permettra de vous en libérer. Voici quelques exemples : peur, agressivité, manque de confiance en soi, colère, timidité, dévalorisation, stress, anxiété… Cette thérapie vous aidera également si vous faites face aux problématiques suivantes : problèmes de poids, deuil, phobies, relations conflictuelles, difficultés scolaires, allergies, addictions, dépression, obstacles professionnels, troubles psycho-somatiques (eczéma, fibromyalgie, psoriasis, migraines, douleurs diffuses…), agressions (physiques ou sexuelles), harcèlement, accident…
Lors des séances de neurothérapie, la personne n’a pas besoin de trouver la cause à son traumatisme. La personne sera sous état modifié de conscience (EMC) et devra se concentrer pour ressentir les émotions négatives qui la bloquent au quotidien. Elle se focalise ainsi sur une émotion bien précise (un ressenti) et une fois celle-ci traitée par la neuropraticienne, il peut se concentrer sur un second sentiment négatif.
Il faut s’avoir qu’en l’absence de traumatisme, nos deux hémisphères cérébraux communiquent. Nous possédons un hémisphère inconscient et un hémisphère conscient. Le premier sera plus basé sur les émotions alors que le second sera plutôt rationnel. Durant une journée, nous accumulons de nombreuses informations. C’est durant une nuit de sommeil que notre cerveau digère ces informations. Grâce à cela, le matin, nous nous sentons plus serein. Toutefois, le fonctionnement n’est pas le même en présence d’un traumatisme.
Lorsque nous subissons un choc émotionnel traumatisant, le processus permettant à nos deux hémisphères de s’équilibrer est alors bloqué. L’émotion négative aura été trop forte pour être digérée. Notre cerveau la stocke alors dans le système limbique. L’émotion est stockée et non digérée. Elle viendra donc déranger le patient dès qu’il sera confronté à une situation similaire à la situation initiale ayant déclenché le traumatisme. La personne pourra alors faire face à des incompréhensions du type « c’est plus fort que moi », « je suis triste dès que je pense à… » ou alors « je suis pris de panique dès que je pense à… ». Ces impressions proviennent du ou des traumatismes stockés dans le système limbique.
C’est là que le neuropraticien intervient. Il provoque mécaniquement la digestion de l’émotion négative en demandant à la personne de la ressentir. Lors de la séance, des stimuli permettent alors aux deux hémisphères du cerveau de digérer les émotions. La personne traitée revit les émotions handicapantes auxquelles il lui arrive de faire face. Grâce à ce processus thérapeutique, le patient se sentira délivré car le ou les traumatismes auront été déprogrammés. Le traumatisme n’est pas oublié. Cependant, la personne n’est plus sous l’emprise émotionnelle liée à ce choc. Des changements bénéfiques interviendront dans sa vie. La neurothérapie agit de manière individuelle et unique et ce toujours en accord avec les besoins du patient.
Rejoignez-moi
découvrez mon univers !
© 2024 Katie Dahan. Tous droits réservés
